Je contacte Mr Jean Marie Le Gall mi août 2016 alors que je suis au plus mal et désespérée, Je suis médecin, malade, atteinte d’une maladie neuro-immunitaire qui est incomprise, assez rare (150 000 personnes en France), quasi ignorée du corps médical et surtout sans aucun traitement efficace,
Il s’agit de l’encéphalomyélite chronique (mal appelé également « syndrome de fatigue chronique ») . Je suis malade depuis un an et mon état, après une brève amélioration initiale de 4 mois, ne fait qu’empirer,
Les confrères consultés n’y comprennent rien (je fais le diagnostic toute seule grâce à internet et les approches anglosaxonnes). L’un des quatre praticiens spécialiste français me reçoit enfin à Angers : il me prescrit que le repos : cognitif, physique et émotionnel… Quasi impossible pour une mère de famille de 55 ans !
Mi août quand je rencontre Mr Le Gall, mon état d’épuisement est tel que je suis allongée entre 22h et 23h sur 2. J’ai des maux de tête incessants, des vertiges dès que je suis debout avec une tachycardie et des palpitations, des troubles de concentration.
Il m’est alors impossible de travailler (en arrêt depuis 3 mois) impossible de conduire, de rester debout plus de 5 minutes, assise plus de ½ heure et donc de m’occuper de ma fillette handicapée autiste de 11 ans.
Je ne connais pas Mr Le Gall mais j’ai lu plusieurs articles évoquant son efficacité thérapeutique et sa discrétion.
Mon compagnon m’accompagne pour ce rendez-vous à Anglet et j’effectue le trajet de deux heures allongée sur la plage arrière de la voiture.
Il nous reçoit très simplement et nous explique tout d’abord sa pratique. Il pense être un canal qui laisse passer des possibilités de soins, avec notamment l’aide de son grand père médecin défunt. Il ne nous promet pas une efficacité parfaite mais une amélioration. Il me propose une ou deux séances de soins avec une évaluation de résultats dans le mois qui suit. Son discours est clair, rigoureux et son approche est scientifique, ce qui me rassure.
Son humilité et sa probité l’honorent.
La séance en elle même est très courte, environ 10 minutes : il passe ses mains le long de mon corps, restant à distance et déploie ainsi une « énergie » qu’il me transmet.
Nous rentrons sur Bordeaux. Les jours suivants mon énergie revient peu à peu.
Mr Le Gall a la gentillesse de m’appeler pour prendre de mes nouvelles, régulièrement, et il me propose de prodiguer des soins à distance, sur photo. J’accepte, touchée par tant de sollicitude, d’autant qu’il refuse catégoriquement d’être payé pour ces « compléments ».
Progressivement, je reprends vie : bien sûr je suis les consignes de mon confrère d’Angers et je prends le médicament conseillé pour le cœur (mais il ne traite en aucun cas le fond du problème, uniquement la dysautonomie cardiaque).
L’amélioration se poursuit, très progressive. Le 12 septembre, je peux même profiter du restaurant avec un repas écourté de 1h.
Fin octobre je peux marcher 30 minutes et conduire 15 minutes.
Cette collaboration va durer jusqu’à mon rétablissement fin décembre 2016. Nous échangeons régulièrement au téléphone.
Je reprends le travail le 2 janvier 2016. Je ne suis pas guérie mais j’ai retrouvé 65 % de mon énergie. D’après le spécialiste je fais partie des rares 12% qui ont une amélioration.
Que penser ? Est-ce le fruit du hasard ? J’ai du mal a y croire : parfois Mr Le Gall me dit avoir fait une séance telle demi journée et je retrouve sur le carnet de bord de ma santé que j’étais en forme particulièrement quelques heures après ce soin !! La coïncidence est bien troublante ! D’autant qu’elle se répète !!
Quelles sont les forces qui ont transité à travers lui ? Pourquoi la médecine « classique » refuse t’elle cette approche (pourtant millénaire). Il me dit visualiser mon propre corps énergétique lors des soins à distance ! Je le crois sur parole, mais qu’est ce que je ne donnerais pas pour le voir, et surtout pouvoir soulager certains de mes patients.
Merci Mr Le Gall. Merci pour votre profonde gentillesse, pour votre simplicité et votre amour de l’humain.