- Recentrage et réparation des déchirures dans le corps subtil
- Rééquilibrage des centres vitaux (chakras)
- Assistance spirituelle des « médecins du ciel » dont celle du Dr René Le Gall (mon grand père).
- Pendant ma « transe médiumnique » je suis incorporé et téléguidé par ces « médecins du ciel » de l’au-delà. Ceux-ci vont utiliser mon corps (mes mains) pendant un temps limité et intervenir sur le « corps énergétique » :
le périspirite (du grec péri = autour) enveloppe semi matérielle de l’esprit – chez les incarnés il sert de lien ou d’intermédiaire entre l’esprit et la matière. Il constitue le corps fluidique de l’esprit. - Pour plus d’informations je vous invite à découvrir mon livre « contacts avec l’au-delà » (Editions Fernand Lanore) dans sa version rééditée de 2018 ainsi que le DVD « Les mains de lumière ».
Témoignage de Madeline – infirmière à la retraite
Au cours de la séance faite par Monsieur Le Gall (19 janvier), pour soulager ma mère, j’attendais l’autre extrémité de la pièce en feuilletant des magazines. Lorsque Monsieur Le Gall se retrouve assis derrière sa table de soin et travaille au niveau de la tête de maman, je lève les yeux pour l’observer. Une lumière irradie de sa personne et tout près de lui une silhouette massive de taille moyenne et constituée de la même radiance se penche sur le thérapeute, elle paraît pleine de sollicitude…
J’ai pensé c’est peut être un ange gardien.
René LE GALL.
Médecin des troupes coloniales. Né à Morlaix (Finistère) le 29 septembre 1892.
Entre en 1913 à l’Ecole de la Santé navale et coloniale de Bordeaux.
Médecin-capitaine, il est désigné pour les établissements Français de l’Océanie où il arrive en juillet 1925.
Chargé du service médical à Taravao qui comporte pratiquement les deux tiers des districts de Tahiti, il assure également la surveillance médicale de Moorea et de l’archipel des Tuamotu qu’il visite sur la mouette, goélette de l’administration. Il met sur pied à Taravao une infirmerie qui deviendra l’hôpital actuel. Quitte les Etablissements Français de l’Océanie en juillet 1928.
Médecin-commandant, le Dr Le Gall fera un second séjour en Océanie d’avril 1931 à avril 1934. Il sera médecin résident à Uturoa dans l’île de Raiatea et chargé du service médical de des îles Sous-le-Vent. A ces fonctions il joindra un an plus tard, celles d’un administrateur de l’archipel. A ce titre, il sera le premier maire militaire désigné d’Uturoa. C’est à ce moment qu’il fait dresser les plans d’un hôpital qui sera construit plus tard.
Le Dr Le Gall connut Anne Hervé, et Morillot qu’il assista, au moment de sa mort en avril 1931. Il sera l’ami de Gouwe et de A. Van Kerckoven. Il quitte définitivement l’Océanie en avril 1934 et prendra sa retraite à Paris.
Collectionneur d’œuvres picturales tahitiennes, à côté d’Anne Hervé, de MacDonald, de Morillot, de Van Kerckoven, il possède surtout de nombreuses toiles de Gouwe, notamment la première version de « la danse du feu », thème plusieurs fois répété par le peintre, ainsi que des paysages et des portraits, en particulier celui de Morillot, exécuté quelques semaines avant la mort du peintre.
Le Dr Le Gall est l’auteur de plusieurs articles et en particulier d’un « aperçu médical sur Tahiti », (Colonie d’Automne de juin 1935, p. 16-20). Il aura l’occasion, dans des articles du « Petit Provençal », en 1929, de protester contre l’accusation d’alcoolisme portée contre les tahitiens par son collègue le Dr Sasportas.